Dans le contexte : Cela ne devrait choquer personne que les GPU Arc Alchemist d’Intel ne proposent pas de pilotes exactement au même niveau que les offres Nvidia et AMD. Team Blue a beaucoup de rattrapage à faire, et maintenant, il abandonne même le support natif des anciennes API graphiques pour, espérons-le, accélérer la procédure.
À l’heure actuelle, ce n’est un secret pour personne que l’entrée d’Intel dans le domaine des GPU discrets avec Intel Arc ne s’est pas déroulée comme prévu. Beaucoup s’attendaient en fait à ce que le géant de la technologie puisse rivaliser avec Nvidia et AMD sur du matériel graphique de milieu et d’entrée de gamme, mais après plusieurs hold-up et un lancement plutôt contrôlé qui ne semble pas être le cas, du moins pour maintenant.
Cela n’a pas aidé non plus que le déploiement d’Intel Arc ait commencé avec une carte bas de gamme, l’Arc 3 A380. Même si les attentes ne pouvaient pas être élevées pour une offre d’entrée de gamme de première génération, notre propre Steven Walton a découvert qu’il s’agissait d’un élément faible qui peut à peine prendre en charge des cartes comme la Radeon RX 6400 d’AMD ou même des conceptions plus anciennes comme la GeForce GTX 1650 de Nvidia.
Une raison importante de la mauvaise performance est qu’Intel prend des mesures infantiles avec l’optimisation du chauffeur, tandis que ses rivaux ont en fait mis des décennies à affiner leur pile logicielle pour une myriade de jeux vidéo . La société a pris un pari coûteux avec Arc, et quelques-uns de ses partenaires ont apparemment perdu tout intérêt peu de temps après avoir vu l’accueil négatif des joueurs et des critiques.
Team Blue semble identifiée pour améliorer l’efficacité et la stabilité du jeu d’Arc Alchemist GPU avec une hiérarchisation agressive de ses efforts. L’entreprise a récemment déplacé les processeurs de 10e génération et plus anciens vers la prise en charge des pilotes traditionnels et a même abandonné la prise en charge de DirectX 9 pour les processeurs de 12e génération et les GPU Arc.
Cette dernière relocalisation est plus intrigante, car il semble qu’Intel gérera DirectX 9 en utilisant les capacités d’émulation de DirectX 12. En particulier, l’entreprise utilisera une couche de cartographie open source appelée D3D9On12 qui peut convertir les commandes graphiques de D3D9 en D3D12. En termes simples, les jeux ou les applications pourront utiliser un gadget Direct3D 9 imité plutôt qu’un gadget natif, avec une efficacité similaire ou juste un peu inférieure.
Le même comportement s’appliquent aux systèmes équipés à la fois d’un GPU intégré Intel Xe et d’un GPU Arc. Ce dernier prendra le contrôle de la fabrication des jeux vidéo DirectX 9 via le D3D9On12 à moins qu’il ne soit handicapé.
En un sens, Intel sous-traite le travail d’optimisation de ses pilotes de jeu pour DirectX 9 à Microsoft afin qu’il peut se concentrer sur l’amélioration des performances de DirectX 11 sur Intel Arc. L’entreprise a encore du pain sur la planche, mais au moins les capacités multimédias du silicium Intel Arc telles que l’encodage AV1 sont non seulement décentes, mais elles parviennent également à battre celles des cartes Nvidia et AMD de génération actuelle.
En attendant, Intel prépare la sortie des cartes Arc 7 et tente même d’améliorer leurs performances. Il s’agira d’offres grand public au même niveau que des cartes comme la Nvidia GeForce RTX 3060 (au moins dans les titres DirectX 12 modernes), mais il n’y a pas de mot sur le prix ou la date de sortie.
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